économie
Libération des dissidents cubains Iván Hernández Carrillo et Angel Moya Acosta
Les ex prisonniers politiques Iván Hernández Carrillo et Angel Moya Acosta ont été libérés mardi sans que jusqu’à présent les autorités cubaines aient formulé des charges dans leur contre. Tous les deux avaient été temporairement arrêtés au début de cette semaine quand province de Massacres s’adressaient à une réunion du mouvement adverse Divisé par la Démocratie Pedro Luis Boitiel, dans celui peuplé de Perico.
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Ils libèrent aux dissidents cubains Iván Hernández Carrillo et Angel Moya Acosta
économie
Cuba confronté à une grave crise économique
Cuba avait déjà connu une période similaire dans les années 90 pendant la « période spéciale » lorsque le PIB avait subitement chuté de plus de 30% suite à l’effondrement de l’Union soviétique.
À La Havane, à Cuba, la crise économique est présente partout. Les habitants se pressent devant les commerces, ce qui provoque d’innombrables files d’attente. La mission quotidienne de chaque Cubain est de trouver de quoi se nourrir.
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Manifestations à Cuba : "Les gens manquent de tout, la situation économique et sociale est absolument horrible",
Des milliers de Cubains ont manifesté dans la rue dimanche pour protester contre le gouvernement et sa gestion de la crise économique.
économie
Cuba : l'île communiste accepte la propriété privée et l'économie de marché
Elle a été approuvée par plus de 86% des voix. Les Cubains ont adopté une nouvelle Constitution par référendum pour y inscrire l’ouverture du pays à l’économie de marché. Cuba est un des derniers pays communistes du monde, mais il reconnaît désormais le marché, la propriété privée et la nécessité des investissements étrangers dans sa Constitution, qui rappelle aussi le caractère irrévocable du socialisme.
L’Église défavorable
Un vote en apparence démocratique dans un pays qui ne l’est pas totalement. La nouvelle Constitution réaffirme le rôle unique du Parti communiste. Son premier secrétaire Raul Castro s’est rendu aux urnes, comme l’actuel chef de l’État Miguel Diaz Canel qui voit dans son vote une réaffirmation de la puissance cubaine face aux Américains et aux Européens. Le nouveau texte de la Constitution était contesté par certains Cubains sur les réseaux sociaux et par l’Église catholique.