économie
Une illusion sans futur
Il surprend le souci des marxistex cubaines pour trouver asideros dans un monde qu’il survit au milieu des ruines.
Il surprend le souci des marxistex cubaines pour trouver asideros dans un monde qu’il survit au milieu des ruines. Ils habitent un pays avec un système qui n’est pas arrivé à être effondré – comme il s’est produit avec le socialisme en Europe Orientale, mais que la seule chose ce qu’il a obtenu est un salut fragmenté. Quelqu’un avec une conviction vraie dans l’existence d’un futur pour le socialisme – il ne vient pas au cas se référer aux tas d’opportunistes il fait face au paradoxe de vivre dans une nation chaque fois plus éloignée de ce système politique. Tandis que sa vie est régie par un gouvernement fait l’éloge comme symbole de la résistance anticapitaliste, il trouve que mencionar  ; cette résistance est un des prétextes les plus aidés pour ne pas entreprendre les transformations indispensables pour sortir de la crise économique et sociale dans laquelle est plongée l’Île. À la fin, ce qui est rhétorique qui empêche de parler réformes et changements, et se limite à indiquer une mise à jour pâle est une auge d’eau froide qui tombe journellement sur ce qui est cubains. Il donne l’impression que ses approches sur le futur résultent plutôt une rationalisation pour justifier se saisir au passé. D’abord, au Cuba il n’a jamais existé le socialisme. Fidel Castro, par convenance politique circonstancielle, a joué la lettre de situer son gouvernement dans le domaine du comunismo soviétique. Le reste sont des différences, ombres qu’il vaut la peine étudier et les similitudes assez connues. Le comunismo – tel comme il est connu et comme il a été mis en pratique dans l’Union Soviétique disparue est un système malsain par nature, comme en son temps l’a été l’esclavage. Il n’a ni jamais a eu salut. Le j’engendre qu’il a porté à la Vladimir I pratique. Lenin il a été celui d’un système totalitaire cruel et…
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économie
Cuba confronté à une grave crise économique
Cuba avait déjà connu une période similaire dans les années 90 pendant la “période spéciale” lorsque le PIB avait subitement chuté de plus de 30% suite à l’effondrement de l’Union soviétique.
À La Havane, à Cuba, la crise économique est présente partout. Les habitants se pressent devant les commerces, ce qui provoque d’innombrables files d’attente. La mission quotidienne de chaque Cubain est de trouver de quoi se nourrir.
(suite…)économie
Manifestations à Cuba : "Les gens manquent de tout, la situation économique et sociale est absolument horrible",
Des milliers de Cubains ont manifesté dans la rue dimanche pour protester contre le gouvernement et sa gestion de la crise économique.
économie
Cuba : l'île communiste accepte la propriété privée et l'économie de marché
Elle a été approuvée par plus de 86% des voix. Les Cubains ont adopté une nouvelle Constitution par référendum pour y inscrire l’ouverture du pays à l’économie de marché. Cuba est un des derniers pays communistes du monde, mais il reconnaît désormais le marché, la propriété privée et la nécessité des investissements étrangers dans sa Constitution, qui rappelle aussi le caractère irrévocable du socialisme.
L’Église défavorable
Un vote en apparence démocratique dans un pays qui ne l’est pas totalement. La nouvelle Constitution réaffirme le rôle unique du Parti communiste. Son premier secrétaire Raul Castro s’est rendu aux urnes, comme l’actuel chef de l’État Miguel Diaz Canel qui voit dans son vote une réaffirmation de la puissance cubaine face aux Américains et aux Européens. Le nouveau texte de la Constitution était contesté par certains Cubains sur les réseaux sociaux et par l’Église catholique.