économie
Démocratie et capitalisme a Cuba
Par des décennies dans l’exile cubain de Miami on a maintenu la doctrine de de laquelle porter la liberté au Cuba passe par la réinstauration d’un système politique dominé par le marché. Il n’est pas certain. Capitalisme et démocratie ne sont pas synonymes
Par des décennies dans l’exile cubain de Miami on a maintenu la doctrine de de laquelle porter la liberté au Cuba passe par la réinstauration d’un système politique dominé par le marché. Il n’est pas certain. Capitalisme et démocratie ne sont pas synonymes. Ils peuvent nécessairement coïncider, mais non. Il peut être aspiré que dans l’île il existe un État de droit, le respect absolu aux droits humains, la propriété privée et la libre entreprise, sans que cela implique añorar un retour au passé et soutenir l’illusion de transformer à La Havane une copie de Miami de fait, chaque fois cobra une plus grande force les preuves que le processus de ´´actualización´´ que mène à bien le gouvernement de Raúl Castro est très près d’un retour au capitalisme avec des conditions – dans ses aspects plus superficiels et impitoyables et dans rien intéressé le plus petit changement en ce qui concerne les libertés des citoyens. Les fanatiques du néo-libéralisme, qui confondent généralement le manque de règlements y des contrôles du marché avec la liberté politique, doivent lire une indique de plusieurs livres, que traitent sur la supposée décadence mondiale des Etats-Unis, effectuée par Ian Buruma dans le nombre de du 21 avril 2008 en The New Yorker.Buruma fait référence à The Return of History and the End of Dreams, le livre de Robert Kagan, l’idéologue neoconservador d’un plus grand talent aux Etats-Unis. Il dit Buruma que Kagan fait une bonne observation en indiquant ce qu’ils oublient ceux qui croient qu’avec seulement les bénédictions combinées le commerce, le capitalisme et la propriété croissante on arrive inexorablement à une démocratie libérale. En accord avec Buruma, ce qui est sous-estimé c’est l’attrait international de l’autocratie. L’Union Soviétique, après l’élan initial qui a reçu l’industrialisation…
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Démocratie et capitalisme au Cuba
économie
Cuba confronté à une grave crise économique
Cuba avait déjà connu une période similaire dans les années 90 pendant la « période spéciale » lorsque le PIB avait subitement chuté de plus de 30% suite à l’effondrement de l’Union soviétique.
À La Havane, à Cuba, la crise économique est présente partout. Les habitants se pressent devant les commerces, ce qui provoque d’innombrables files d’attente. La mission quotidienne de chaque Cubain est de trouver de quoi se nourrir.
(suite…)économie
Manifestations à Cuba : "Les gens manquent de tout, la situation économique et sociale est absolument horrible",
Des milliers de Cubains ont manifesté dans la rue dimanche pour protester contre le gouvernement et sa gestion de la crise économique.
économie
Cuba : l'île communiste accepte la propriété privée et l'économie de marché
Elle a été approuvée par plus de 86% des voix. Les Cubains ont adopté une nouvelle Constitution par référendum pour y inscrire l’ouverture du pays à l’économie de marché. Cuba est un des derniers pays communistes du monde, mais il reconnaît désormais le marché, la propriété privée et la nécessité des investissements étrangers dans sa Constitution, qui rappelle aussi le caractère irrévocable du socialisme.
L’Église défavorable
Un vote en apparence démocratique dans un pays qui ne l’est pas totalement. La nouvelle Constitution réaffirme le rôle unique du Parti communiste. Son premier secrétaire Raul Castro s’est rendu aux urnes, comme l’actuel chef de l’État Miguel Diaz Canel qui voit dans son vote une réaffirmation de la puissance cubaine face aux Américains et aux Européens. Le nouveau texte de la Constitution était contesté par certains Cubains sur les réseaux sociaux et par l’Église catholique.