économie
Orage dans les urnes espagnoles : le début de la fin de la social-démocratie européenne ?
Après les résultats nationaux, la victoire déconcertante du PP espagnol ajoute un nouvel indicateur à une tendance politique européenne chaque fois plus visible : la social-démocratie paraît avoir les jours comptés. En Espagne il n’y avait pas doute de la défaite du PSOE, seulement quelques brèves questions sur l’ampleur de la chute. Les résultats électoraux ont dépassé tous les espoirs.
Après les résultats nationaux, la victoire déconcertante du PP espagnol ajoute un nouvel indicateur à une tendance politique européenne chaque fois plus visible : la social-démocratie paraît avoir les jours comptés. En Espagne il n’y avait pas doute de la défaite du PSOE, seulement quelques brèves questions sur l’ampleur de la chute. Les résultats électoraux ont dépassé tous les espoirs. Il y a des facteurs évidents qui ont contribué à la défaite du Parti Socialiste Ouvrier espagnol. Le premier est qu’a résulté ce qui est chivo expiatoire parfait pour une crise que dans une grande mesure il n’ait pu résoudre aucun parti. L’Europe a offert la victoire à Rajoy. Il n’est pas facile de survivre à la pire crise économique depuis 1929. Toutefois, chercher tous les coupables dans l’extérieur ce n’est pas une bonne analyse. Les Espagnols ont commencé à se écarter du PSOE, et spécialement de José Luis Rodriguez Zapatero, quand celui-ci a mené à bien l’abandon des politiques d’avance sociale, pour obtenir la confiance des marchés et les investisseurs européens. Pour avoir un gouvernement libéral, mieux bien défini dans ce terrain, et est arrivé maintenant Rajoy pour mettre les choses dans clairement. La sélection Alfredo Pérez Rubalcaba comme substitut de Cordonnier dans la lutte électorale n’a résolu rien et ça a été simplement un mouvement obligé par les machines politiques. Trop identifié avec le gouvernement de Cordonnier, s’avérait impossible que Rubalcaba était l’espoir de de quelque chose nouveau. Un des détails les plus humiliants que la défaite déconcertante du PSOE est que le parti n’a pas perdu étant socialiste, mais ne étant pas ce qui est suffisant. Le reste des partis espagnols de tendance socialiste ont gagné des points. Le cas le plus important est celui de Gauche Unida.En ce sens est que le…
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Orage dans les urnes espagnoles : le début de la fin de la social-démocratie européenne ?
économie
Cuba confronté à une grave crise économique
Cuba avait déjà connu une période similaire dans les années 90 pendant la « période spéciale » lorsque le PIB avait subitement chuté de plus de 30% suite à l’effondrement de l’Union soviétique.
À La Havane, à Cuba, la crise économique est présente partout. Les habitants se pressent devant les commerces, ce qui provoque d’innombrables files d’attente. La mission quotidienne de chaque Cubain est de trouver de quoi se nourrir.
(suite…)économie
Manifestations à Cuba : "Les gens manquent de tout, la situation économique et sociale est absolument horrible",
Des milliers de Cubains ont manifesté dans la rue dimanche pour protester contre le gouvernement et sa gestion de la crise économique.
économie
Cuba : l'île communiste accepte la propriété privée et l'économie de marché
Elle a été approuvée par plus de 86% des voix. Les Cubains ont adopté une nouvelle Constitution par référendum pour y inscrire l’ouverture du pays à l’économie de marché. Cuba est un des derniers pays communistes du monde, mais il reconnaît désormais le marché, la propriété privée et la nécessité des investissements étrangers dans sa Constitution, qui rappelle aussi le caractère irrévocable du socialisme.
L’Église défavorable
Un vote en apparence démocratique dans un pays qui ne l’est pas totalement. La nouvelle Constitution réaffirme le rôle unique du Parti communiste. Son premier secrétaire Raul Castro s’est rendu aux urnes, comme l’actuel chef de l’État Miguel Diaz Canel qui voit dans son vote une réaffirmation de la puissance cubaine face aux Américains et aux Européens. Le nouveau texte de la Constitution était contesté par certains Cubains sur les réseaux sociaux et par l’Église catholique.